Début du colloque INSECTINOV à Romainville qui se déroule du 2 décembre au 3 décembre 2014.
Nicolas Moulin Entomologiste présente le poster « Les insectes auxiliaires à l’agriculture : des indicateurs de la restauration de la biodiversité ». lien Insectinov-posters
A ce jour, 360 spécimens de mantes des collections de Nicolas Moulin sont barcodés à l’Université de Guelph au Canada. Les séquences du gène mitochondrial COI sont en ligne sur BOLD.
190 autres individus devraient être séquencés d’ici la fin de l’année.
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Ces séquençages vont permettre de confirmer ou infirmer des identifications taxonomiques classiques dans le but d’améliorer les connaissances sur ce groupe d’insectes. Des publications sont en cours d’écriture.
Voici la nouvelle plaquette et le poster de présentation de l’entreprise Nicolas Moulin Entomologiste.
Pour télécharger :
Plaquette Plaquette 2016 nmentomo
Poster NMENTOMO_Poster 2014
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Après avoir mené les inventaires entomologiques des ZNIEFF de Martinique de 2011 à 2013, la Société entomologique Antilles-Guyane (SEAG) a répondu à nouveau en 2014 au marché d’inventaire de ZNIEFF proposé par la Direction de l’Environnement de l’Aménagement et du Logement de la Martinique ( DEAL ); en partenariat avec Nicolas Moulin Entomologiste et Entomo Martinique.
Les suivis sont réalisés sur 5 ZNIEFF et la Réserve Naturelle Nationale de la Caravelle.
Le but de l’inventaire ZNIEFF est 
d’identifier et de porter à connaissance des zones présentant un fort intérêt écologique. D’après la méthodologie du MNHN, l’intérêt de ces zones doit être démontré sur la base de la présence d’espèces ou d’habitats dits « déterminants ZNIEFF » (Elissalde-Videment et al., 2004). Les espèces déterminantes sont des espèces endémiques ou menacées, rares ou en limite de répartition.
Les ZNIEFF à inventorier ont été définies sur la base de leurs habitats naturels bien conservés et/ou de la présence de flore et de vertébrés déterminants.
Le protocole adopté en 2011 – 2013 est reconduit en 2014, afin que la Direction de l’Environnement de l’Aménagement et du Logement de la Martinique (DEAL) et ses partenaires disposent de données d’inventaires comparables en termes de méthodologie, de groupes ciblés et de période de collecte.
Ces travaux portent essentiellement sur les coléoptères, lépidoptères et hyménoptères, ces groupes permettant une bonne estimation de l’intérêt entomologique des espaces forestiers étudiés.
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En complément et pour renforcer la couverture taxonomique, d’autres experts ont été mobilisés sur une seconde période, afin de traiter des groupes peu échantillonnés jusqu’à présent. Ces travaux portent notamment sur les insectes aquatiques, avec les odonates et les macro-invertébrés aquatiques ; ils couvrent également les diptères et les orthoptéroïdes.
Ordres et familles étudiés
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La méthodologie vise à collecter le plus largement possible l’entomofaune de chaque site, par des dispositifs de piégeage à large spectre et par une collecte active orientée sur les habitats et micro-habitats favorables. Les ordres et familles traités sont ceux pour lesquels le réseau SEAG possède déjà une bonne expertise. Le partenariat avec Martinique Entomologie et l’entreprise de Nicolas Moulin vient compléter cette expertise d’ensemble.
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Les principaux ordres et groupes collectés et identifiés sont :
Les 6 sites étudiés (ZNIEFF et la Réserve de la Caravelle)
Selon la con
figuration des sites (taille, diversité de milieux), l’étude est réalisée sur une ou deux stations de collecte. Pour les sites comportant deux stations, celles-ci sont choisies dans des endroits éloignés l’un de l’autre (géographiquement et surtout en termes d’altitude ou de distance à la mer) afin de maximiser les chances d’observer des espèces différentes. Les Sites avec leur surface en ha sont les suivants :
L’intervention de l’entreprise Nicolas Moulin Entomologiste
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Notre participation se situe au cours de la Phase de terrain II qui consiste à établir des inventaires ciblés de groupes taxonomiques complémentaires durant la saison des pluies, en septembre. Pour cette phase, un séjour de 17 jours dont 13 jours de terrains effectifs à deux personnes est organisé. Nicolas Moulin et Julie Braud consultants tous deux en entomologie interviennent sur cette phase qui apportera en plus des compléments sur les groupes traités dans la première phase.
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L’entreprise individuelle de Nicolas Moulin Entomologiste intervient en qualité d’experts, notamment pour les suivis d’espèces protégées, les inventaires entomologiques dans le cadre d’études d’impact, les suivis d’espèces selon les protocoles STELI et STERF.
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Son rôle est l’organisation et la réalisation des collectes de terrain de la phase II dans les 6 sites, le tri des échantillons, les déterminations, l’analyse des données, la gestion des données cartographiques et le soutien à la rédaction des rapports.
Le Protocole retenu pour le terrain phase II
Deux méthodes sont mises en œuvre pour cette phase : les pièges et la recherche active :
toile collectant les insectes sans attractivité;La mission a démarré le 14 septembre 2014 et se termine le 29 septembre 2014. Les données collectées sur le terrain et les déterminations ultérieures feront l’objet des rapports constituant les livrables de la mission à la DEAL.
La classe de Grande Section/Cours Préparatoire
de
l’école d’Echenevex(01) a entrepris un élevage de papillons à partir des chenilles apportées en classe par les élèves.
L’équipe de l’entreprise Nicolas Moulin Entomologiste est mise à contribution pour aider les élèves de la classe dans leur projet et répondre à leurs questions.
Les échanges se font par mails et des visioconférences par Skype seront aussi organisées.
Cérafon et Doudou sont les premières chenilles arrivées à la mini-ferme à papillons.
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Cérafon et Doudou papillons
Bien d’autres chenilles sont venues rejoindre Cérafon et Doudou et, avec elles, les questions sur le cycle de vie des chenilles et des papillons sont soumises à Nicolas et son équipe.
Bravo à la maîtresse et aux enfants de GS/CP pour leur intérêt pour le monde des petites bêtes de la nature et la biodiversité.
Depuis deux ans, dans le cadre du plan de gestion de l’Espace Naturel Sensible du bois du Chesnay situé à Vétheuil (95) pour le compte du Conseil Général du Val d’Oise et en partenariat avec ALISEA, l’entreprise Nicolas Moulin Entomologiste réalise un diagnostic entomologique sur cet espace naturel sensible de la commune de Vétheuil.
159 espèces d’insectes dont plusieurs espèces patrimoniales par leur statut de rareté et de protection en Ile de France ont été mises en évidence grâce aux inventaires effectués en 2013 et début 2014.
En journée, l’équipe a réalisé des prospections à vue pour observer les odonates et lépidoptères présents. Il a été noté la présence de nombreux Gryllus campestris dans la prairie qui ne fait pas partie de l’Espace Naturel Sensible puisque seulement le boisement est classé ENS.
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L’équipe a aussi fait quelques rencontres insolites comme une belle Coronella austriaca…. .
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En soirée, l’équipe a réalisé une chasse nocturne d’insectes. Une première chasse nocturne avait déjà eu lieu en 2013.
Les deux chasses nocturnes ont permis de recenser 86 espèces de papillons de nuit.
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Les chasses nocturnes ont été réalisées selon le protocole habituel : drap blanc et lampe 250 W. Le dispositif a été installé dans la prairie à proximité de la lisière du bois.
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Un petit briefing avant la nuit pour précise
r les opérations : repérage des nouveaux insectes arrivés sur le drap ou alentour, capture, détermination, recensement, et libération des individus recensés et c’était parti pour plusieurs heures d’observation.
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Pendant la chasse, les papillons ont été déterminés au fil de leur arrivée sur le drap ou dans le proche voisinage.
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En fin de nuit, démontage de l’installation à la lumière des frontales et retour à la maison pour un repos bien mérité.
La quatrième session D’ECOTROP s’est déroulée du 24 mars au 6 avril 2014 dans le Parc National de la Lopé au Gabon.
Cette session a regroupé un peu plus d’une vingtaine de stagiaires en provenance des universités de Libreville (UOB) et de Franceville (USTM) au Gabon, de Yaoundé et de Ngaoundéré au Cameroun, de Rouen, de Paris-Sud, de l’UPMC et de l’Ecole Pratique des Hautes Etudes (EPHE) en France.
La première semaine a été dédiée à l’initiation aux techniques d’observation, de mesure, de prélèvement et de conditionnement.
La seconde semaine a été dédiée à la mise au point de protocoles d’échantillonnage adaptés à une question scientifique précise. Lien vers page de parcsgabon.
Mon rôle dans cette session a été d’encadrer l’atelier entomologie.
Nous avons pu ainsi étudier les méthodes d’inventaire et d’échantillonnage. Nous avons réalisé des chasses nocturnes avec drap blanc et lumière puissante. Nous avons géré les échantillons et leur conditionnement sous les tropiques.
En deuxième semaine, j’ai animé un atelier de spécialisation sur les orthoptères et les mantes et réalisé une présentation sur les mantes en examinant les divers aspects : systématique, biologie, morphologie, écologie, répartition et communauté au Gabon.
J’ai effectué aussi une présentation de mon entreprise et de mon métier d’entomologiste indépendant.
Les étudiants ont restitué sur l’ensemble de la session à Libreville. Cette année encore nous avons vécu une session intense et riche. Je suis partant pour une nouvelle session.
Lien vers le compte rendu de la session ECOTROP 2014.
L’Inventaire National du Patrimoine Naturel
a été initié en 2003 et lancé officiellement en 2005 sur la base des données gérées depuis 1979 par le Secrétariat de la Faune et de la Flore(SFF) du MNHN.
L’INPN est un système mis en place afin d’assurer de manière standardisée la restitution de données de synthèses nécessaires à l’expertise, à l’élaboration de stratégies de conservation et à la diffusion d’informations et de rapports nationaux et internationaux sur le patrimoine naturel français(espèces végétales et animales, milieux naturels et patrimoine géologique).
L’INPN est réalisé en associant scientifiques, collectivités territoriales, naturalistes et associations de protection de la nature en vue d’établir une synthèse sur le patrimoine naturel en France. Les données fournies par les partenaires sont organisées, gérées, validées et diffusées par le MNHN.
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Afin de gérer cette importante source d’informations, le Muséum a construit une base de données permettant d’unifier les données par l’utilisation de référentiels taxonomiques, géographiques et administratifs. Il est ainsi possible d’accéder à des listes d’espèces par commune, par espace protégé ou par maille 10×10 kms. Grâce à ces systèmes de référence, il est possible de produire des synthèses quelle que soit la source d’information et de valoriser la moindre donnée.
C’est dans ce cadre que l’entreprise Nicolas Moulin Entomologiste s’est engagé à :
Dans un premier temps une liste d’espèces 
à répertorier ( orthoptères, …) comprenant notamment certaines espèces « à statut », va être rapidement fournie au Service du Patrimoine Naturel(SPN) pour fixer un programme de saisie cohérent avec les actions déjà réalisées ou engagées par le SPN.
A voir : lien Saga Pedo la magicienne dentelée
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Le Service du Patrimoine Naturel (SPN) développe la mission d’expertise confiée au Muséum National d’Histoire Naturel pour la connaissance et la conservation de la nature. Il a vocation à couvrir l’ensemble de la thématique biodiversité (faune/flore/habitat) et géodiversité au niveau français (terrestre, marine, métropolitaine et ultra-marine). Il est chargé de la mutualisation et de l’optimisation de la collecte, de la synthèse et la diffusion d’informations sur le patrimoine naturel.
Pour la quatrième année consécutive, l’école de terrain ECOTROP est organisée en 2014 
dans le Parc National de la Lopé au Gabon. Programmée du 24 mars au 6 avril, cette session a regroupé un peu plus d’une vingtaine de stagiaires en provenance des universités de Libreville (UOB, ENEF) et de Franceville (USTM) au Gabon, de Yaoundé et de Ngaoundéré au Cameroun, de Rouen, de Paris-Sud, de l’UPMC et de l’Ecole Pratique des Hautes Etudes (EPHE) en France.
La première semaine était dédiée à l’initiation aux techniques d’observation, de mesure, de prélèvement et de conditionnement. Les méthodologies ont été regroupées autour des objets d’études : les paysages, l’entomofaune, la faune du sol, la grande faune et les populations riveraines. Des travaux pratiques de terrain ont été organisés tous les matins autour d’ateliers méthodologiques (cartographie, relevé faunique, piégeage diurne et nocturne, chasse à vue, échantillonnage, relevé pédologique, carottage sédimentaire, interviews, etc.). Le taux d’encadrement très élevé a permis une initiation intensive et un système de rotation quotidienne a permis que chaque stagiaire suive tous les ateliers. Des travaux dirigés et des séminaires ont été organisés chaque après-midi dans les locaux du Complexe Éducatif Dr Alphonse Mackanga Missandzou (CEDAMM).
La seconde semaine est dédiée à la mise au point de protocoles d’échantillonnage adaptés à une question scientifique précise. Le stagiaires sont alors répartis en 5 ou 6 groupes supervisés par 2 ou 3 encadrants et traitant d’une thématique donnée. En concertation avec l’ANPN et les partenaires gabonais, et après avoir traité pendant 3 ans du contraste forêt-savane, le Comité de Pilotage a recommandé que l’impact de la géomorphologie et des feux (écobuage) sur les niveaux de biodiversité et l’évolution des paysages du Parc National de la Lopé, fassent l’objet d’une attention particulière. Parallèlement, les actions engagées sur les questions relatives aux espèces invasives et à la conservation de la grande faune seront poursuivies. Le choix des sites d’étude et des transects sera guidé par l’analyse paysagère réalisée au cours des sessions ECOTROP précédentes par l’Université de Rennes 2 (UMR LETG-COSTEL).
Comme les années passées, les stagiaires ont été 
encadrés sur le terrain par des enseignants-chercheurs des établissements partenaires et par des chercheurs de la Wildlife Conservation Society (WCS), de l’Institut de Recherche en Ecologie Tropicale (IRET), du Centre International de Recherches Médicales de Franceville (CIRMF) et de l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD,UMR PALOC, UR BEI, UMR AMAP, UMR HSM) et de l’entreprise Nicolas moulin Entomologiste (NMENTOMO). L’équipe de plus d’une quarantaine de personnes bénéficie de l’accueil, de l’encadrement, de la logistique et/ou des infrastructures de la Brigade des Eaux et Forêts, du CEDAMM, de la SEGC et de l’ANPN. L’ensemble de cette campagne, placée sous la supervision du CENAREST et de l’ANPN, est également soutenue par l’Institut Français du Gabon (IFG), le programme RAPAC et l’Union Européenne à travers le programme ECOFAC5, le Programme Pluridisciplinaire Régional (PPR) de l’IRD FTH-AC et le Service de Renforcement des Capacité de l’IRD.
Conformément aux recommandations du Comité de Pilotage et aux décisions du Comité de Suivi et d’Orientation, réunis en décembre 2013 à Libreville, un atelier de restitution et une cérémonie de clôture a été organisés le 8 avril 2014 dans les locaux de l’IFG à Libreville. L’atelier de restitution constitue un véritable exercice pédagogique où chaque groupe thématique est chargé de présenter un bilan des deux semaines de stage. Cette séance permet aux stagiaires de s’approprier véritablement les hypothèses de travail et aux encadrants d’intervenir une dernière fois dans une démarche plus synthétique. Organisé pour la première fois à Libreville, il a été le lieu de quelques échanges entre les stagiaires, les encadrants et la communauté scientifique présente. La cérémonie de clôture organisée en fin de matinée a donné lieu à la remise des certificats de participation et offrira à chaque représentant des membres du Consortium ECOTROP l’occasion de prendre la parole un an après la signature de la convention en mars 2013 à Libreville.
(cf David Sebag pour le comité de pilotage d’ECOTROP14)
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Afin de préparer l’Observatoire Francilien de la Biodiversité coordonné par NatureParif, l’OPIE synthétise actuellement les connaissances régionales préexistantes par département.
Si l’étude ne prenait au départ en compte que les lépidoptères, elle a été étendue à d’autres groupes d’insectes.
Notre bureau d’études Nicolas Moulin Entomologiste participe à cette grande collecte d’information. Pour cela nous avons commencé à rassembler les données d’observations que nous avons dans nos bases de données. Les données qui concernent l’ensemble : lépidoptères, odonates, orthoptères, hémiptères et dictyoptères, ont été transmises à l’OPIE. Une liste des coléoptères est en cours d’établissement et sera aussi transmise pour alimenter l’observatoire francilien de la Biodiversité
